Nom : Le Diable
Prénom : Esperide
Âge : Inconnu
Race : Diable, unique en son genre.
Sexe : Du sexe des Anges...Déchus
Caractère : Impériale, cruelle, apocalyptique et particulièrement maligne, elle est enjôleuse et écrasante de charisme...N'importe qui s'efface à côté de sa prestance.
Physique : Portant une très longue chevelure d'un roux maléfique, des grands yeux presque entièrement noirs et une peau livide comme la mort, à peine rosée. Elle est incroyablement fine, mais ses traits ne sont pas squelettiques. Pourvue d'un charme sans égal, ses mouvement sont gracieux, et elle est assez grande. Ses tenues dantesques sont habituellement noires.
Passé/Histoire : L'Histoire du Diable...
Signes particulier : Particulièrement Apocalyptique.
Pouvoir maîtrisé : Tous.
Arme(s) : A assez de pouvoirs pour ne pas en avoir besoin.
Un poème pour seule véritable description...l'Hymne à la Beauté:
Viens-tu du ciel profond ou sors-tu de l'abîme,
Ô beauté ? Ton regard, infernal et divin,
Verse confusément le bienfait et le crime,
Et l'on peut pour cela te comparer au vin.
Tu contiens dans ton œil le couchant et l'aurore ;
Tu répands des parfums comme un soir orageux ;
Tes baisers sont un philtre et ta bouche une amphore
Qui font le héros lâche et l'enfant courageux.
Sors-tu du gouffre noir ou descends-tu des astres ?
Le destin charmé suit tes jupons comme un chien ;
Tu sèmes au hasard la joie et les désastres,
Et tu gouvernes tout et ne réponds de rien.
Tu marches sur des morts, beauté, dont tu te moques ;
De tes bijoux l'horreur n'est pas le moins charmant,
Et le meurtre, parmi tes plus chères breloques,
Sur ton ventre orgueilleux danse amoureusement.
L'éphémère ébloui vole vers toi, chandelle,
Crépite, flambe et dit : bénissons ce flambeau !
L'amoureux pantelant incliné sur sa belle
A l'air d'un moribond caressant son tombeau.
Que tu viennes du ciel ou de l'enfer, qu'importe,
Ô beauté ! Monstre énorme, effrayant, ingénu !
Si ton œil, ton souris, ton pied, m'ouvrent la porte
D'un infini que j'aime et n'ai jamais connu ?
De Satan ou de Dieu, qu'importe ? Ange ou sirène,
Qu'importe, si tu rends, - fée aux yeux de velours,
Rythme, parfum, lueur, ô mon unique reine ! -
L'univers moins hideux et les instants moins lourds ?